Pour leur retour en Ligue des Champions, les Gunners étaient très attendus hier soir. Comme le FC Barcelone la veille, les Anglais n’ont pas attendu longtemps avant de faire parler la poudre.

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Pour l’un comme pour l’autre, ce match avait une importance particulière, celle d’un retour dans la reine des compétitions européennes. Pour les Gunners, surtout, l’absence fut longue. Si la dernière participation à Ligue des Champions du PSV remonte à il y a 2 ans, sa dernière véritable phase de poule elle, s’est tenue lors de la saison 2018-2019. Il en va presque de même pour les Anglais dont l'ultime participation remonte elle, à 2017. Alors forcément, le match de la veille avait pour les deux formations, une saveur assez particulière. Seulement, au grand détriment des Hollandais, les hommes de Mikel Arteta n'auront pas tardé à jouer cartes sur table. Un message clair envoyé non seulement à leur adversaire du soir, mais également à leurs futurs concurrents.
En inscrivant très rapidement le premier but du match, à la 8ème minute, les Anglais ont très vite donné le ton. Une prise d'avantage rapide qui se fera aux détriments du PSV. En moins de 45 minutes, celui-ci va se faire étriller par une équipe rouge et blanche entreprenante, mais surtout avec un jeu collectif très élaboré. Dès la première mi-temps, après deux autres buts inscrits par Leandro Trossard et Gabriel Jesus (le premier a été inscrit par Bukayo Saka NDR), les garçons de Peter Bosz se sont retrouvés la tête sous l’eau.
Particulièrement transparents, ceux-ci ne parviendront jamais à se montrer très dangereux à l’égard de leurs bourreaux. Malgré de très rares tentatives en seconde période, ils verront même le score aggravé par un énième but signé Martin Ødegaard. Une victoire par KO qui n’est pas sans laisser quelques inquiétudes pour le prochain adversaire des Anglais : Lens.
Un point très important relevé pendant le match ?
Outre la domination sans partage des Gunners, un élément est particulièrement visible à la vue du match. Sur les 4 buts inscrits, 2 ont été effectués en dehors de la surface et un autre à longue distance. Seul le premier d’entre eux s’est fait « au corps-à-corps » après une incursion de Bukayo Saka dans la surface. Que cela soit grâce à l’excellente passe effectuée par ce dernier pour la seconde réalisation ou un tir d’une précision redoutable pour la quatrième, un point commun se dégage de celles-ci. Les espaces et le manque d’agressivité du PSV ont fait les affaires d’Arsenal, les rendant particulièrement dangereux sur les tirs de loin.
De même, trois des quatre buts ont été effectués grâce à une passe décisive, ce qui témoigne de la très grande fluidité du jeu collectif anglais et de son efficacité. Des éléments qu’il serait judicieux de prendre en compte pour les Français mardi. Sous peine de voir se produire un scénario similaire se reproduire.