Dans un match d’ouverture où le spectacle était plus en tribune que sur le terrain, l’arbitre du match aurait pu changer la physionomie du match par deux décisions litigieuses qui montre une nouvelle fois l’importance de la VAR pour de tels faits de jeux.
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Si les Grenoblois ont éteint le chaudron en tout fin de match face à des Stéphanois encore en rodage, la physionomie du match aurait pu être tout autre si Charbonnier avait inscrit son penalty pour son retour à la compétition. À la 83ème, après un rush solitaire, Mathieu Cafaro s’effondre dans la surface et M.Legat décide de siffler penalty. Une décision contestable après le visionnage des ralentis qui montrent bien que le piston droit stéphanois s’écroule facilement sans que le défenseur grenoblois ne le touche vraiment. Finalement, Brice Maubleu arrête le penalty de Charbonnier et permet aux Grenoblois de conserver des chances de victoire. Un arrêt qui lui permet d’obtenir le titre d’homme du match.
Un but refusé à tort ?
Quelques secondes plus tard, Ibrahima Wadji pensait délivrer un chaudron encore au rendez-vous cet après-midi mais l’arbitre assistant a décidé de lever son drapeau pour signaler un hors-jeu. Un hors-jeu qui n’est clairement pas évident sur les images au ralenti. Si Charbonnier dévie bien le ballon pour l’attaquant sénégalais, Wadji semble en position régulière par rapport au dernier défenseur. Deux décisions qui montrent bien que la VAR est un outil très important dans le football actuel. Une VAR qui manque encore cruellement en Ligue 2 même si la ligue a annoncé la mise en place de cette dernière la saison prochaine. En toute fin de match, le milieu de terrain Bamba est venu mettre le coup fatal après avoir trompé Larsonneur à bout portant.