ASSE : Une dépense conséquente et imprévue consentie ?

Avec 383 apparitions sous la tunique des Verts, Stéphane Ruffier est incontestablement l'un des joueurs les plus capés de l'histoire de l'AS Saint-Étienne. Et pourtant malgré ce statut, l'ancien portier stéphanois fut licencié en 2020 à six mois de la fin de son contrat pour faute grave. Aujourd'hui, il réclame des indemnités pour réparation du préjudice à lui commis par son ancien club.

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Illustration : "ASSE : Une dépense conséquente et imprévue consentie ?"
©site officiel de l'AS Saint-Étienne

Les motifs du licenciement

À six de la fin de son contrat, le club de l'AS Saint-Étienne décide en 2020 de licencier son portier pour faute grave. Il était reproché à Ruffier plusieurs écarts disciplinaires au sein de l'équipe.

Selon le club, Stéphane était un habitué des retards aux séances d'entraînement. De plus, il avait coutume des départs réguliers du club sans la moindre autorisation. Enfin, il était réfractaire au port de casque pendant la période du covid.

Le montant conséquent demandé pour réparation

Débarqué en 2009 chez les Verts, Stéphane Ruffier y a passé dix ans au cours desquels il a disputé un total de 383 matches. N'ayant pas apprécié la façon dont les choses se sont terminées entre les deux parties, il assigne l'AS Saint-Étienne en justice.

Devant le conseil des prud'hommes de Saint-Étienne ce jour, Stéphane Ruffier fait une demande. En effet, l'ancien portier stéphanois conteste le motif de son licenciement et réclame 7 millions d'euros. Affaire à suivre donc !

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