L'ASSE est au cœur de la course. Prêt à vaincre n’importe quel adversaire depuis 1 mois, le club ne semble pas près de s’arrêter. Après Troyes, Angers et Annecy, le tour du Paris FC s’approche à grands pas. Les deux clubs s'affrontent en effet demain à 15 heures.
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À quelques heures du match entre le club de Ligue 2 de la capitale et celui de Saint-Etienne, les Verts se préparent et sont plus en forme que jamais et sont prêts à arracher une victoire de plus. Mais malgré cette confiance nouvelle, l’entraîneur du club soulève des problèmes observés lors des derniers matchs disputés par les Stéphanois.
Des faiblesses observées et un manque d’efficacité
Les Verts n’ont qu’une ambition, monter en Ligue 1 la saison prochaine. Et les Verts ont montré qu’ils sont capables d’être au niveau des plus hauts du classement. Avec de bons joueurs dans les rangs, l'ASSE a raison d’oser rêver de la Ligue 1. Olivier Dall’oglio s’est d’ailleurs confier sur sa vision de son équipe en ce moment. En effet, l’entraîneur a remarqué certaines faiblesses dans ses rangs lors du match face à Annecy. “Je pense qu’inconsciemment il y a eu un petit relâchement, en se disant que ça allait passer même si on en faisait un peu moins. Mais si tout le monde fait ça… Nous, on passe le message, mais ça ne passe pas toujours. On a eu un grand mérite de gagner ce match, ça n'a pas été un grand match, mais on le gagne. Ce match doit être perçu comme un message d’alerte, il ne faudra pas le reproduire deux fois. Heureusement, ça a été sans conséquence au classement. On a beaucoup travaillé dessus, notamment sur les pertes de balle naïves, sur des retours moins puissants que d’habitude, des duels perdus, le tout donne un match moyen”. Et il remarque également que les Verts manquent d’efficacité en fin de match et il reconnaît que cette faiblesse pourrait s'avérer fatale pour la suite de la compétition. “Oui, on regarde ça, on prend des buts sur les derniers quarts d’heures. Ça peut s'expliquer par l'état de fatigue puisqu’on court pas mal et on perd en lucidité (…) ça part de nos pertes de balle. Quand tu perds le ballon, l’équipe adverse reprend le dessus et ça use“, confie-t-il.
Il faudra que les joueurs reviennent sur ces faiblesses s’ils veulent avoir une chance de grimper encore plus haut sur le sommet de la Ligue 2.