Bordelais et Stéphanois se quittent dos à dos au terme d’un match nul et vierge malgré des nombreuses occasions de part et d’autre. Cependant, une décision litigieuse interroge du côté des Verts après la rencontre.

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Dans ce choc de la 16e journée, les Girondins de Bordeaux et les Verts se partagent les points. En effet, dans une rencontre animée, chacune des équipes a eu sa mi-temps sans parvenir à prendre l’avantage au tableau d’affichage. Les Verts ont pu compter sur un grand Gautier Larsonneur, pour son retour dans la cage stéphanoise. De plus, le manque de confiance s’est cruellement fait ressentir à certains moments clés du côté des Verts. Malgré les tentatives audacieuses de Dylan Chambost ou encore Mathieu Cafaro, le groupe forézien n’a pas semblé suffisamment menaçante pour porter le danger sur le but gardé par Rafal Straczek. La deuxième mi-temps est totalement à l’avantage des Bordelais également maladroits dans le dernier geste. A l’image de la frappe du géorgien Davitashvili, seul au point de penalty dont la frappe vient flirter avec l’extérieur du poteau de Larsonneur. Un match nul logique, révélant le manque de réalisme criant des deux équipes.
Une décision marquante à l’encontre des Verts
Autre fait de jeu litigieux : Le penalty refusé à Ibrahim Sissoko en première mi-temps. Dans un temps fort, les Verts parvenaient à se frayer un chemin vers le but bordelais jusqu’à l’intervention autoritaire d’un joueur girondin. Si la décision d’accorder un penalty semblait logique côté stéphanois, l’arbitre, a lui, refusé d’indiquer le point de penalty jugeant qu’une faute du même Sissoko avait été commise au départ de l’action. Un fait de jeu qui aurait pu avoir son incidence, mais que l’entraîneur visiteur n’a pas contesté : « De là où on est oui, il y a penalty. L’arbitre a estimé, parce que je viens de m'entretenir avec lui quelques minutes, qu’il y avait une première faute commise par notre attaquant (Ibrahim Sissoko, ndlr), je suis mal placé pour le voir donc je lui fais confiance."