Équipe de France : La pression déjà sur les Bleus en Angleterre !

Samedi soir, l'équipe de France affronte l'Angleterre pour une place en demi-finale de la Coupe du monde. La presse britannique, consciente de l'enjeu de la rencontre, met la pression sur les Bleus.

Illustration : "Équipe de France : La pression déjà sur les Bleus en Angleterre ! "
© Twitter officiel de l'équipe de France

Une affiche de gala. Samedi soir, à 20 heures, l'équipe de France affronte l'Angleterre dans le cadre des quarts de finale de la Coupe du monde. Un match bien évidemment décisif pour les deux formations. Avant la rencontre, la sélection britannique met la pression sur les Bleus, favoris pour cette échéance avec le statut de champion du monde. La presse d'outre-Manche a ciblé les principaux dangers de la sélection tricolore.

Une pression sur les Bleus ?

Kylian Mbappé est l'atout numéro un de Didier Deschamps. Les quotidiens anglais saluent le choix de Gareth Southgate, le sélectionneur des Three Lions, d'avoir "convoqué trois latéraux droits" pour contrer le natif de Bondy. Le joueur de Manchester City Kyle Walker a d'ailleurs mis la pression sur l'attaquant parisien en conférence de presse, en lançant son match face à Kylian Mbappé. Mais il a aussi évoqué les autres forces de l'équipe de France, comme Ousmane Dembélé, dont la vitesse et la technique inquiètent la presse anglaise, Antoine Griezmann dans son rôle de relayeur ou encore Olivier Giroud, bien connu de la Premier League. Mais les Anglais sont confiants sur un poste : celui de gardien de but. The Telegraph a écrit sur son site jeudi que Hugo Lloris "pourrait être le talon d'Achille de la France" et que Jordan Pickford était meilleur que lui. Le journal s'est appuyé sur les Expected Goals (un domaine de statistiques) pour faire cette comparaison entre les deux portiers. Le quotidien explique que Lloris fait "trop d'erreurs" et qu'il est "moins bon sur les sorties" que son homologue anglais. L'occasion d'appuyer sur la fragilité du gardien de Tottenham et de mettre la pression sur ses épaules avant la rencontre. Beaucoup de "trashtalk" comme il est coutume en NBA ou en Premier League notamment. Reste à connaître la réponse des Bleus dans le seul domaine qui compte : le terrain.