Le promu troyen a changé d’entraineur durant la trêve hivernale, en se séparant de Laurent Batlles et faisant venir Bruno Irles. Une décision qui ne ravit pas tout le monde.
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Michel Mallet, président du QRM, ne fut pas le premier à se réjouir de l’arrivée de Bruno Irles sur le banc troyen. Car avant de signer à l’ESTAC, le technicien de 46 ans était sous contrat avec le club de Quevilly Rouen, qu’il avait d’ailleurs fait monter de National à la Ligue 2 la saison dernière. Le départ du coach n’est donc pas forcément une bonne nouvelle, d’autant que ça n’était pas prévu par le président Michel Mallet : « Ce départ est une surprise totale pour moi. On s’était inscrit dans un projet moyen, long terme avec Bruno. On ne s’attend jamais à ce que son coach soit contacté au mois de décembre » a t-il déclaré dans les colonnes de Paris-Normandie.
Perdre l’entraineur qui a permis la montée en Ligue 2, ce n’est jamais facile à gérer, et le président en veux surtout à l’ESTAC : « Si je dois me sentir trahi, ce n’est pas par lui, mais par le club de Troyes, même si, sur la fin, on a discuté en se respectant. Je n’ai pas apprécié qu’ils contactent directement un entraineur en place, qui a encore 18 mois de contrat ». Des propos compréhensibles de la part du président, qui assure ne pas en vouloir au nouveau coach troyen : « Concernant Bruno, je ne peux l’accuser. Intégrer le City Football Group, coacher en Ligue 1 alors qu’il était en National il y a un an, c’est une grosse opportunité ».
Le club de Quevilly Rouen a dû trouver un nouveau coach rapidement, et l’a fait en officialisant ce mardi, l’arrivée de Fabien Mercadal, passé notamment par Caen et Dunkerque, sur le banc du promu.