Un joueur du FC Nantes, dans une situation particulière, avait il y a peu été victimes de chants jugés homophobes. C’était lors de la rencontre entre Rennes et Nantes du 1er octobre dernier. Bruno Génésio a été interrogé sur cet épisode, et semble mesuré.
Le coach rennais a été interpellé en conférence de presse à propos des incidents survenus en amont de la rencontre, désormais reportée le 6 décembre, opposant l’OM à l’OL. Génésio n’a pas manqué de rappeler que les auteurs de ces événements n’ont pas leur place dans un stade de foot, et qui nuisent surtout à l’image de Marseille, et en règle générale que tout acte extra-sportif relatif à un comportement impropre aux valeurs du football entachait la réputation des clubs concernés. Il lui a donc été rappelé que lors du match opposant Rennes à Nantes, un joueur avait été chambré par le public du Rohazon Park.
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« Une minorité qu’on entend »
L’entraîneur rennais rapporte que lors de ce match, il n’avait même pas entendu les chants homophobes à l’encontre d’Abline, joueur prêté par le club breton aux canaris. Génésio ajoute qu’il a cependant entendu les sifflets du stade couvrant ces chants, et que ces derniers n’étaient que le résultat d’une minorité bruyante et soutient surtout la réaction des supporters, qui ont rapidement contribué à l’arrêt de ces chants.