Placé dans le premier groupe en compagnie de Manchester City, du Club Bruges et du RB Leipzig, le Paris-Saint-Germain est l'ultra favori de la compétition depuis son recrutement XXL. Pourtant, rien ne lui est promis dès les phases de poules...
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Messi, Ramos, Donnarruma, Wijnaldum et Hakimi. Un mercato comme on en avais pas vu en Europe depuis le temps des galactiques du Real Madrid. Pourtant, malgré cet afflux de stars dans la capitale, le PSG n'a pas déja course gagnée en phase de poule. petite revue de tableau pour les hommes de Pocchetino :
Manchester City
Finaliste en titre, multiple champion d'Angleterre, réservoir à grands joueurs, Manchester City était petu-être l'épouvantail à ne pas tirer pour le PSG dès le premier tour. Pourtant, il faudra faire avec, et l'équipe menée par Pep Guardiola ne viendra pas au Parc des Princes dans trois semaines sans garder en mémoire l'affrontement entre les deux équipes en mai dernier. Mais cette fois, de part et d'autre le mercato a été actif. Messi d'un côté, Grealish de l'autre, chaque équipe voudra égrenner son nouveau joyau, et la première place du groupe sera rudement bataillée entre deux des meilleures équipes de la planète.
RB Leipzig
Arrivée parmi les meilleures équipes d'Allemagne en quelques année, le RasenBallsport Leipzig est une formation bien connue du PSG, qui l'avait déja retrouvée en phase de poule l'an dernier, et en demi-finale l'année d'avant. Troisième roud donc entre les deux équipes, face cette fois à un Leipzig à 100% de ses forces malgré un début de saison chaotique. Renforcé par les arrivées d'André Silva, Josko Gvardiol, Ilaix Moriba et Mohamed Simakan, Leipzig est désomais capable de regarder les plus grands d'Europe dans les yeux.
Club Bruges
Là encore, il s'agit d'un nom pas inconnu aux oreilles des supporters parisiens. En effet, les deux équipes s'étaient croisées dès les phases de poules il y a deux ans. Si le match aller n'avait été qu'une formalité pour le PSG (5-0), le retour avait été bataillé jusqu'a bout, et Bruges avait montré de solides arguments face à l'armada parisienne (1-0). Alors certes, l'équipe n'est plus la même aujourd'hui, mais le club belge est typiquement le genre d'adversaire jamais évident à jouer.
Un triage très relevé pour le Paris-Saint-Germain, qui pourra au moins débuter sa Ligue des Champions dans le vif du sujet, face a des équipes qui comme lui prétendent au sacre suprême.