Avec l’arrivée du nouvel entraîneur Laurent Battles, le grand chantier du mercato peut commencer à Saint-Étienne. Pour retrouver l’élite, les Verts comptent bien bâtir un effectif basé sur de l’expérience, et une première recrue de ce calibre pourrait bientôt arriver : Anthony Briançon.
Plus d’une semaine après la relégation en Ligue 2 et un barrage perdu face à Auxerre, l’AS Saint-Étienne se concentre déjà sur la saison prochaine, avec un objectif bien défini : retrouver l’élite dès la première saison en deuxième division. Pour cela, les Stéphanois ont déjà trouvé leur nouvel entraîneur Laurent Battles, et commencent déjà à activer des pistes pour des recrues. Avec de nombreux joueurs en fin de contrat et des ventes à prévoir, l’effectif va radicalement changer cet été. Parmi les arrivées possibles, on parle d’un défenseur qui connaît très bien la Ligue 2 : le nîmois Anthony Briançon.
Laurent Battles a déjà tenté sa chance
En fin de contrat, le défenseur français de 27 ans ne prolongera pas avec le club du Gard, et l’ASSE serait très intéressé par le profil. Loïc Perrin et d’autres dirigeants suivraient avec attention le dossier. Avec 130 matchs au compteur en Ligue 2, et une montée, Anthony Briançon rentrerait parfaitement dans les plans stéphanois. De plus, le défenseur nîmois avait été l’une des cibles de Troyes l’année dernière, entraîné par un certain Laurent Battles !
En effet, alors qu’il venait de faire monter le club troyen dans l’élite, le nouvel entraîneur vert avait tenté de le faire venir lui et Renaud Ripart, qui descendaient avec Nîmes en Ligue 2. Mais le défenseur nîmois avait préféré honorer sa dernière année de contrat avec les Crocodiles. Taulier de la défense de son club depuis quelques saisons, il n’a que très peu joué cette année, à cause d’une grave blessure au genou (4 matchs de Ligue 2 pour 1 but). S’il venait à signer chez les Verts, comme pressenti depuis quelques semaines, il n’aurait cependant peut-être pas immédiatement la faveur des supporters, lui qui a passé 3 saisons chez les jeunes à Lyon.