Annoncé la semaine dernière comme nouvelle recrue du Stade Brestois, Billal Brahimi a officiellement été présenté ce mercredi. Prêté par l’OGC Nice jusqu’à la fin de la saison, l’international algérien a fait une promesse de bon augure pour les prochains matchs.
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Si Brest réalise un très bon début de saison, avec 2 victoires et 1 match nul en 4 rencontres face à Lens, Marseille, Rennes et à Le Havre, les hommes d’Éric Roy pourront compter sur une belle recrue. À savoir Billal Brahimi, qui s’est révélé la saison dernière avec l’OGC Nice de Didier Digard, avant d’être écarté des plans du nouvel entraîneur niçois, Francesco Farioli.
Questionné pour la première fois en tant que joueur de Brest, l’international algérien âgé de 23 ans voit déjà une possible complémentarité.
Nouvelles couleurs
En effet Billal Brahimi, en conférence de presse, a abordé sa possible connexion avec Kenny Lala, latéral droit du Stade Brestois.
Capable de jouer sur les deux côtés, Billal Brahimi a toujours semblé plus à l’aise lorsqu’il évoluait sur le côté droit, ayant de grandes facilités à rentrer sur son pied gauche. Ces dernières qui lui ont permis d’inscrire de très beaux buts la saison passée avec l’OGC Nice, avec notamment celui que l’Algérien a inscrit face à Ajaccio, nommé plus beau but de la saison 2022-2023 de Ligue 1.
Le nouveau numéro 21 du Stade Brestois a déclaré, grâce à ses qualités de puissance et de percussion, être optimiste quant à sa complémentarité avec Kenny Lala, buteur face à Lens, et titulaire au poste de latéral droit.
L’international algérien, malgré une volonté de s’imposer à Nice où il reste sous contrat jusqu’en juin 2025, a expliqué avoir été totalement convaincu par le projet brestois : « J’ai senti que tout le monde me voulait sincèrement ici […] La manière dont le club m’a été d’écrit, familial et avec beaucoup de ferveur autour, m’a beaucoup plus ».
La nouvelle recrue du club breton se sent en tout cas prêt pour une grosse saison : « J’espère faire beaucoup de matchs, marquer et faire marquer ».
Une promesse déjà de très bon augure pour les hommes d’Éric Roy.