En ouverture de la 23e journée de Ligue 1, l’Olympique Lyonnais s’est fait peur, mais a assuré l’essentiel contre le FC Metz. En déplacement sur la pelouse du stade Saint-Symphorien, les Gones ont une nouvelle fois pu se mettre en confiance avec une quatrième victoire de rang en championnat. Contre Strasbourg, la tâche s’annonce tout autre, d’autant que Pierre Sage semble se diriger vers un léger remaniement d’effectif ce mardi.
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Quatre victoires en quatre matchs, tel est le bilan de l’OL en ce moment en championnat. Après avoir fait tomber Metz, Nice, Montpellier, et Marseille, sans oublier Lille dans le cadre de la Coupe de France, c’est justement dans cette compétition que les hommes de Pierre Sage auront rendez-vous dès mardi, face au RCSA. Moins en forme en Ligue 1, Strasbourg est à la fois la cible idéale, mais également l’archétype du piège parfait. Malgré tout, quelques ajustements seront certainement consentis pour reposer certains cadres.
Un duel sans Lacazette ?
Après le match de vendredi soir, l’espoir était encore présent quant au retour de Corentin Tolisso dans le groupe lyonnais ce mardi. Malheureusement pour le champion du monde, il n’en sera rien. Absent de la séance de dimanche, le milieu de terrain devra encore attendre pour retrouver les siens, et regardera à nouveau cette rencontre en tribunes.
Outre les blessures et les indisponibilités, le choix de Pierre Sage pourrait être de ne pas titulariser Alexandre Lacazette. Après avoir remporté cinq matchs consécutifs durant lesquels il s’est montré indispensable dans presque chacun d’entre eux, le capitaine de cette formation lyonnaise pourrait être laissé dans une forme relative de repos mardi soir. En effet, alors que les Sang et Or seront les prochains adversaires des Gones en Ligue 1, le coup reçu contre Metz l’obligeant à suivre un travail spécifique dimanche pourrait mener le coach rhodanien à modifier quelque peu ses plans. Au regard de la bonne entrée réalisée par Benrahma contre Metz, l’ancien de West Ham pourrait avoir sa chance sur l’aile, laissant ainsi à Gift Orban la possibilité de se racheter à la pointe de l’attaque.