L'empire footballistique de John Textor traverse une crise majeure qui s'étend désormais à l'ensemble de ses propriétés sportives. L'homme d'affaires américain, qui semblait avoir trouvé refuge au Brésil après ses déboires européens, voit aujourd'hui ses derniers soutiens s'effriter. Alors que l'Olympique Lyonnais l'a déjà rejeté suite à une gestion catastrophique, et que Molenbeek a résisté à ses tentatives de changement d'identité, c'est maintenant au tour de Botafogo de se dresser contre lui. Pourtant, le club brésilien était jusqu'alors le joyau de son groupe Eagle Football, ayant remporté le championnat du Brésil et la prestigieuse Copa Libertadores. Cette révolte généralisée illustre l'ampleur des tensions qui minent l'empire de Textor, transformant ses succès sportifs en pyrrhus victories face à une opposition croissante de ses propres supporters.

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Une manifestation révélatrice du malaise profond
La contestation contre John Textor a pris une tournure spectaculaire ce mardi soir, lorsque les supporters de Botafogo ont organisé une manifestation d'envergure autour du stade Nilton Santos. Cette mobilisation spontanée témoigne de la profondeur du mécontentement qui couve depuis plusieurs mois au sein de la base populaire du club. Les fans ont déployé des banderoles bilingues en portugais et en anglais, démontrant leur volonté de faire entendre leur message au-delà des frontières brésiliennes. Parmi les slogans les plus virulents, l'une des banderoles qualifiait directement Textor de "clown et escroc", une attaque personnelle qui révèle l'exaspération face à sa gestion chaotique. Cette protestation marque un tournant décisif dans les relations entre l'actionnaire américain et la communauté des supporters, qui reprochent à Textor des décisions jugées trop éloignées des attentes du club et de ses traditions.
Un conflit institutionnel qui divise la direction
Au-delà de la contestation populaire, John Textor fait face à une rébellion interne qui menace directement son autorité. Selon des sources brésiliennes fiables, l'homme d'affaires américain serait entré en conflit ouvert avec la branche sociale du club, dirigée par João Paulo Magalhaes Lins. Cette figure respectée de l'institution souhaiterait activement pousser Textor vers la sortie, illustrant la fracture qui traverse désormais la gouvernance de Botafogo. Face à cette pression institutionnelle, Eagle Football aurait même envisagé plusieurs successeurs potentiels, notamment Jean-Pierre Conte, administrateur du groupe Eagle, James Dinan, ou encore un représentant nommé par Michele Kang. Ces manœuvres de succession révèlent l'ampleur de la crise de confiance qui secoue l'organisation, où même les plus proches collaborateurs de Textor semblent chercher des alternatives à sa direction controversée.
La riposte défensive de l'homme d'affaires américain
Confronté à cette contestation multiforme, John Textor a choisi de sortir du silence avec une déclaration ferme qui révèle sa détermination à conserver le contrôle. Dans ses propos rapportés par Globoesporte, l'Américain a rappelé sa position dominante en affirmant : "Il est impossible qu'il y ait une réunion d'Eagle sans que je sois impliqué. Je suis l'actionnaire majoritaire". Cette déclaration autoritaire s'accompagne d'une promesse de changements à venir tout en maintenant sa présence au sein du groupe. Textor n'a pas hésité à minimiser l'influence de ses opposants, notamment João Paulo, en précisant qu'ils ne détiennent que 10% du Botafogo et restent de simples invités à collaborer. Sa déclaration la plus marquante reste celle où il affirme "vouloir mourir dans ce club et je mourrai à Botafogo", révélant un attachement personnel qui transcende les considérations purement financières et sa volonté de résister à toutes les pressions pour maintenir son emprise sur le club brésilien.
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