Au terme de 90 minutes haletantes, une décision arbitrale est vivement remise en cause par les Rhodaniens. Et pour cause, cette dernière aurait pu totalement changer l’issue d’un match bien plus indécis qu’il n’y paraît.

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Dans une ambiance éléctrique, lensois et lyonnais, se sont rendus coup pour coup. En effet, chacune des équipes a mené au score avant d’être rejoint dans la foulée. C’est dans les vingt dernières minutes que le polonais Frankowski parvenaient à donner la victoire à son équipe. Une défaite encourageante pour les Lyonnais qui auraient tout de même mérité le point du match nul. Malgré cela, le groupe lyonnais peut s’appuyer sur l’état d’esprit démontré lors de ces deux dernières sorties et peut se satisfaire du contenu proposé à Bollaert-Delelis. Cependant, plusieurs décisions arbitrales à la défaveur des Gones sont vivement critiquées.
Un penalty oublié ?
Après avoir décidé de ne pas accorder un penalty suite à une main dans le visage de Danso sur Alexandre Lacazette, l’arbitre du jour Clément Turpin a finalement accordé un penalty à Lens. En seconde période, David Pereira da Costa a intelligemment anticipé l'intervention du longiligne Skelly Alvero dans la surface de réparation. Bien que le penalty semblait justifié au départ et ait été validé par le coup de sifflet de Turpin, les images de la VAR étaient moins convaincantes. Pourtant, le penalty a été confirmé, permettant à Lens de prendre l'avantage à 2-1. Cette décision arbitrale continue de susciter les interrogations lyonnaises au terme d’un scénario qui laissera certainement des regrets au troisième entraîneur de la saison lyonnaise, Pierre Sage.