Dans une finale sous tension, un penalty aurait pu changer la physionomie du match, mais l’arbitre du match est revenu sur sa décision dans une deuxième mi-temps dominée par Séville qui a complétement changé de visage par rapport à la première période.
Alors qu’Ocampos pensait délivrer les siens en obtenant un penalty. Monsieur Taylor, arbitre de la finale, est revenu sur sa décision en revisionnant la faute avec la var. Une décision lourde de conséquence pour des Sévillans qui n’ont cessé d’acculer la surface romaine. Même si les avis sont contrastés sur cette faute où Ibanez touche le ballon avant de heurter la cheville de l’ailier sévillan, c’est bien Anthony Taylor qui semble avoir pris la bonne décision malgré la contestation de l’Argentin. Un match bien maîtrisé de l’arbitre anglais qui a tenu de bout en bout cette partie malgré la tension et l’agressivité italienne sur la moindre de ses décisions.

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Un changement tactique réussi pour Mendilibar
Mené 1-0 après une première période sans réelles actions offensives, Mendilibar décide de changer de système et fait rentrer les expérimenter Suso et Lamela dès le début de la seconde période. Un choix payant pour des Sévillans qui montrent un visage bien plus offensif face à des Romains qui reculent au fur et à mesure que les minutes passent. C’est qu’à la 56ème que les attaques espagnoles vont être récompensé sur un but contre son camp de Mancini après un moment de flottement dans la défense italienne. Séville pensait prendre l’avantage quelques minutes plus tard donc avant que le penalty soit annulé. Il faudra donc attendre les prolongations pour les supporters des eaux équipes pour savoir si une des deux equipes arrivera à faire la différence.