Le mercato estival s'annonce mouvementé pour le FC Nantes, qui a déjà perdu plusieurs cadres comme Simon, Chirivella, Augusto, Pallois et Lafont. Mais le dossier brûlant concerne Matthis Abline, la jeune pépite offensive convoitée par l'OM. Le président Waldemar Kita avait fixé un prix ferme de 50 M€ pour son attaquant prometteur, repoussant les avances marseillaises.
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Un intérêt confirmé mais des montants "irréalistes"
Parmi les autres prétendants cités, le Paris FC semblait prêt à lâcher 40 millions d'euros pour s'attacher les services d'Abline. Cependant, le président Pierre Ferracci a tenu à clarifier les intentions de son club. "Des chiffres qui ne sont pas réalistes. Certains de vos confrères se transforment en attaché de presse pour faire circuler des chiffres sans même nous avoir approché", a-t-il déclaré, balayant les rumeurs d'une offre astronomique pour le Nantais.
Une approche pragmatique et raisonnée
Ferracci a insisté sur la rigueur financière du Paris FC, qui ne compte pas "faire de folies" malgré ses investisseurs fortunés. "Qui connaît un petit peu le Paris FC et ses dirigeants sait très bien qu'on ne fera pas tout et n'importe quoi", a-t-il ajouté. Le club de la capitale reste néanmoins attentif aux opportunités pour renforcer son attaque, avec plusieurs pistes prometteuses en termes de qualité des joueurs, tout en respectant l'équation économique.
Un dossier complexe à gérer
Le feuilleton Abline s'annonce donc délicat à résoudre pour le FC Nantes. Avec des prétendants de poids comme l'OM et le Paris FC, les négociations risquent d'être tendues autour du joyau offensif des Canaris. Kita devra trancher entre conserver son prodige ou accepter une offre XXL pour son transfert, dans un mercato qui s'annonce agité sur les bords de l'Erdre.