Après leur désillusion de la semaine face à l’AC Milan en Ligue Europa, les Rennais se déplaçaient dans la capitale pour affronter un adversaire du même calibre. Alors que les Rouge et Noir étaient sur le point de l’emporter, un pénalty accordé dans les toutes dernières secondes de la rencontre aux Parisiens a particulièrement attiré l’attention.

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Bon nombre des cadres de Julien Stéphan n’ont pas débuté la partie face au Paris Saint-Germain ce dimanche. Bourigeaud, Terrier, Truffert, Theate ou encore Omari étaient remplaçants au coup d’envoi. Pour autant, c’est bien le Stade Rennais qui a créé la sensation au Parc des Princes en ouvrant la marque peu après la demi-heure de jeu. Grâce à un petit bijou d’Amine Gouiri (33’), les Rouge et Noir pensaient bien avoir fait le plus dur dans cette rencontre. Malgré la solidité défensive sur l’ensemble de la partie, une fin de match complètement folle aura coûté la victoire au SRFC. Un pénalty pour le moins litigieux est venu libérer les hommes de Luis Enrique.
Un pénalty généreux accordé au PSG ?
Alors que le Stade Rennais s’est procuré une très grosse occasion de creuser l’écart par l’intermédiaire de Benjamin Bourigeaud peu après sa rentrée en jeu, un coup du sort est venu s’abattre sur les Rouge et Noir. Dans le temps additionnel de la seconde mi-temps, une intervention osée de Steve Mandanda sur Gonçalo Ramos a coûté les trois points aux Bretons. Au préalable, l’arbitre de la rencontre, Bastien Dechepy n’avait pas sifflé de faute dans la surface de réparation rennaise. Finalement, ce dernier est revenu sur sa décision par le biais du VAR. Après de multiples ralentis, Bastien Dechepy désigne le point de pénalty. Pourtant, il semble bel et bien que l’attaquant portugais du PSG entame volontairement sa chute avant le contact avec Steve Mandanda. Gonçalo Ramos se laisse tomber sur le portier rennais mais, selon l’arbitre, l’intervention est illicite. Celui qui a provoqué la faute ne tremble pas et laisse l’ancien gardien de l’équipe de France impuissant (90+7’).
Une terrible décision pour des Bretons qui pensaient bien accumuler une septième victoire consécutive en Ligue 1. Deux points précieux perdus dans la course à l’Europe pour les troupes de Julien Stéphan.