Le FC Metz va devoir se remonter les bretelles. Les hommes de László Bölöni vont lancer leur sprint final pour le maintien ce week-end. Or, les Grenats pointent à la dernière place d’un classement spécifique révélateur.
Le FC Metz donne-t-il tout pour se sauver en Ligue 1 ? Ces dernières semaines, les hommes de László Bölöni se sont un peu relancés dans la course au maintien. Si l’on oublie la défaite sur la pelouse du Stade de Reims juste avant la trêve internationale, les Grenats ont fait une belle opération en enchaînant deux victoires consécutives, le tout face à des concurrents directs au maintien : le FC Nantes (0-2) et le Clermont Foot (1-0). Ainsi, les Lorrains sont toujours à la pénultième place du championnat, mais reviennent petit à petit à hauteur du barragiste nantais. Le FC Metz n’est plus qu’à trois points du premier non-relégable. Or, une statistique est venue interrompre la positivité lorraine.
Le FC Metz dernier en terme de kilomètres parcourus
En effet, la Ligue 1 a réalisé une étude concernant le nombre de kilomètres parcourus par match de chaque équipe du championnat. Ainsi, le RC Lens (121,3), le Clermont Foot (121,1) et le FC Lorient (120,8) font le plus d’efforts. Soit tout le contraire du FC Metz. En effet, les Grenats pointent à la dernière place de ce classement spécifique. Les hommes de László Bölöni comptent 114,4 kilomètres parcourus par match. Ce classement démontre les différences de tactiques entre chaque formation. Or, être dernier montre que les Messins peuvent faire beaucoup mieux en termes d’efforts. Ils devront ainsi faire mieux sur cette fin de saison s’ils veulent se maintenir.
Après la trêve internationale, le FC Metz va désormais se lancer dans son sprint final. Il commencera dès ce samedi avec la réception de l’AS Monaco, à l’occasion de la 27ème journée de Ligue 1. Une victoire face au troisième du championnat pourrait porter un coup retentissant dans la lutte pour le maintien. Surtout, dans le meilleur des scénarios, les Grenats pourraient quitter la zone rouge. Aux hommes de László Bölöni de faire le travail.