FC Nantes : Kombouaré dépendant de Pallois ?

13e de Ligue 1, le FC Nantes vit une saison en dents de scie. Portée par des éléments forts comme Randal Kolo Muani ou Ludovic Blas, la formation d’Antoine Kombouaré peine à confirmer dans la continuité. Malgré la victoire ce week-end, le manque de Pallois dans l’effectif semble se ressentir sur le plan statistique.

Illustration : "FC Nantes : Kombouaré dépendant de Pallois ?"

Au moment d’évoquer les indispensables du vestaire nantais cette saison, les noms d’Alban Lafont, Pedro Chirivella, Moses Simon, Ludovic Blas ou naturellement, Randal Kolo Muani sont certainement les premiers à venir en tête des supporters et observateurs du club. Souvent titulaires, ils sont également décisifs dans les succès de leur équipe, et permettent de tirer le club vers le haut, lui qui est passé si proche d’une descente l’an dernier. À ces noms qui font saliver toute l’Europe, il semble que Nicolas Pallois doit être ajouté aux indéboulonnables du onze type.

Pas de victoires sans Pallois

Ce dimanche en Ligue 1, le FC Nantes a conjuré le mauvais sort. En plus d’avoir gagné 0-1 face au FC Lorient sur sa propre pelouse, Wylan Cyprien a marqué l’unique but de la rencontre, brisant ainsi une malédiction qui semblait planer au-dessus des remplaçants nantais. En dehors de ce fait, l’absence de Nicolas Pallois était à déplorer, et la victoire acquise au final n’était pas une formalité à en croire les résultats des Canaris sans leur défenseur central titulaire.

En effet, depuis son arrivée en 2017 en provenance de Bordeaux, Pallois est très souvent aligné au sein de la charnière nantaise. Cela faisait 11 matchs que Nantes n’avait pas remporté le moindre match lorsque Nicolas Pallois n’était pas de la partie avant ce week-end. La dernière fois que l’hôte du stade de la Beaujoire avait remporté les trois points sans son titulaire habituel, était le 12 janvier 2020 à Saint-Étienne, il y a près de deux ans. En quatre ans, c’est près d’un quart des matchs seulement qui se soldent par une victoire en l’absence de Pallois.

Dur sur l’homme, le défenseur français semble avant tout faire figure de totem dans l’effectif des jaunes et verts.