En déplacement en Alsace pour le compte de la 23e journée de Ligue 1, le Stade Brestois espère démarrer une série de victoires après le succès du week-end dernier face à l’Olympique de Marseille. À quelques mois de la fin de la saison, une statistique en faveur des Ty-Zefs enchante les supporters brestois.
Avec l’élimination des barrages d’Europa League du RC Lens, du Toulouse FC et du Stade Rennais, la course aux places européennes va s’accélérer. Alors que le championnat va devenir l’enjeu exclusif de nombreux clubs de Ligue 1, les Ty-Zefs devront se montrer réguliers jusqu’à la fin de l’exercice. Si un chiffre de bon augure donne le sourire au Stade Brestois, le calendrier pourrait également profiter aux hommes d’Éric Roy.
Le Stade Brestois déjà dans le quinté de tête à l’issue de la fin de saison ?
Dauphin du Paris Saint-Germain, le Stade Brestois comptabilise 40 points à l’issue de la 22e journée de Ligue 1. À 13 points du leader parisien, l’effectif d’Éric Roy est provisoirement qualifié pour disputer la saison prochaine la Ligue des Champions. Talonné par l’OCG Nice (39 points), le LOSC et l’AS Monaco (38 points), une défaite ou un nul des Ty-Zefs ce soir, et/ou dans les prochaines semaines, pourraient chambouler le haut du classement.
À trois mois de la fin de l’exercice, le Stade Brestois est, d’après certaines statistiques, d’ores et déjà assuré de faire partir du top 5 à l’issue de la saison. Les formations, comptabilisant 40 points à l’issue de la 22e journée de Ligue 1, ont toujours terminé dans le top 5. Solidement ancré dans le haut du tableau, le Stade Brestois a quitté le quinté seulement 5 fois depuis le début de la saison.
Le club brestois comptabilisait la saison dernière moitié moins de points à ce stade de l’année. Si cette saison, les équipes de Ligue 1 se suivent de près au classement, les Ty-Zefs ont déjà affronté certains de leurs concurrents directs à la course aux places européennes. Après avoir rencontré le PSG, Nice et Marseille, le calendrier des Brestois demeure abordable, bien que les équipes du bas du classement se montrent dangereuses.