Stade Rennais : Un avantage inattendu en Ligue Europa !

Il est souvent dit que le public est le troisième homme d’une rencontre. Certains matchs ont prouvé que le soutien de supporters dans son propre stade peut bouleverser des rencontres. Et à quelques jours du match contre le Pana, les Bretons pourraient bien bénéficier d’un coup de pouce en ce sens.

Illustration : "Stade Rennais : Un avantage inattendu en Ligue Europa ! "
© Twitter officiel du Stade Rennais

Il s’était vu paré d’une toiture de verre pour les Jeux olympiques 2004 qui se sont déroulés à Athènes. Ce qui faisait jusque-là sa spécificité est désormais devenu le responsable de sa fermeture. Vendredi dernier, le stade olympique d’Athènes, plus grande infrastructure sportive du pays a fermé ses portes pour de bon. En cause justement, cette fameuse toiture faite de verre et de métal qui n’est désormais plus adaptée aux normes de sécurité requises. Une décision actée par le Centre Olympique d’Athènes (OAKA) par crainte d’un effondrement de cette dernière.

Une décision radicale qui a de facto suspendu toutes les compétitions sportives qui devaient se dérouler en son sein. Le problème, c’est que cette fermeture immédiate menace désormais le bon déroulement de la Ligue Europa pour le Panathinaïkos, mais qui représente peut-être un futur avantage pour leurs opposants bretons.

Moins de public pour les Grecs ?

La question se pose désormais pour les hommes d’Ivan Jovanovic : où va jouer le club qui devait affronter Rennes le 26 octobre prochain ? Celui-ci, qui a par ailleurs joué contre Villareal dans cette même enceinte le 21, n’a pour l’heure fait aucune déclaration sur le sujet. Néanmoins, certaines pistes ont déjà commencé à circuler pour accueillir la rencontre à commencer par le Stadio Apostolos Nikolaidis (16 000 places contre presque 70 000 pour le Stade Olympique).

Un coup dur pour les Grecs qui devront ainsi se priver d’une partie de leur public pour accueillir ceux qui font pour l’heure office de grand favori au sein du groupe F. Une bonne nouvelle cependant pour les Bretons, qui confirmeront ainsi peut-être l’adage : à quelque chose, le malheur est bon.